In secret we met ,
in silence i grieve ,
that thy heart could forget ,
thy spirit deceive ,
if i should meet thee ,
after long years ,
how should i greet thee ,
with silence and tears .
---George Gordon Byron
Here's looking at you kid !
Somewhere My Love...
Oxford"s very own International Human Rights Fire Brigade
Brave Hearts
Man is born free, yet everywhere he is in chains - Jean Jacques Rousseau
Alistair Hulett's version
The Internationale Arise ye workers from your slumbers Arise ye prisoners of want For reason in revolt now thunders And at last ends the age of cant. Away with all your superstitions Servile masses arise, arise We'll change henceforth the old tradition And spurn the dust to win the prize.
So comrades, come rally And the last fight let us face The Internationale unites the human race.
So comrades, come rally And the last fight let us face The Internationale unites the human race.
No more deluded by reaction On tyrants only we'll make war The soldiers too will take strike action They'll break ranks and fight no more
And if those cannibals keep trying To sacrifice us to their pride They soon shall hear the bullets flying We'll shoot the generals on our own side.
No saviour from on high delivers No faith have we in prince or peer Our own right hand the chains must shiver Chains of hatred, greed and fear E'er the thieves will out with their booty And give to all a happier lot. Each at the forge must do their duty And we'll strike while the iron is hot.
Pome de Eugene Pottier (Paris 1871) Musique de Pierre Degeyter (1888)
Debout les damnés de la terre Debout les forçats de la faim La raison tonne en son cratère C'est l'éruption de la fin Du passe faisons table rase Foules, esclaves, debout, debout Le monde va changer de base Nous ne sommes rien, soyons tout
C'est la lutte finale Groupons-nous, et demain (bis) L'Internationale Sera le genre humain
Il n'est pas de sauveurs suprêmes Ni Dieu, ni César, ni tribun Producteurs, sauvons-nous nous-mêmes Décrétons le salut commun Pour que le voleur rende gorge Pour tirer l'esprit du cachot Soufflons nous-mêmes notre forge Battons le fer quand il est chaud.
L'état comprime et la loi triche L'impôt saigne le malheureux Nul devoir ne s'impose au riche Le droit du pauvre est un mot creux C'est assez, languir en tutelle L'égalité veut d'autres lois Pas de droits sans devoirs dit-elle Egaux, pas de devoirs sans droits.
Hideux dans leur apothéose Les rois de la mine et du rail Ont-ils jamais fait autre chose Que dévaliser le travail Dans les coffres-forts de la bande Ce qu'il a crée s'est fondu En décrétant qu'on le lui rende Le peuple ne veut que son dû.
Les rois nous saoulaient de fumées Paix entre nous, guerre aux tyrans Appliquons la grève aux armées Crosse en l'air, et rompons les rangs S'ils s'obstinent, ces cannibales A faire de nous des héros Ils sauront bientôt que nos balles Sont pour nos propres généraux.
Ouvriers, paysans, nous sommes Le grand parti des travailleurs La terre n'appartient qu'aux hommes L'oisif ira loger ailleurs Combien, de nos chairs se repaissent Mais si les corbeaux, les vautours Un de ces matins disparaissent Le soleil brillera toujours.
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